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17 avril 2019

Veme Cassoulet nationaliste toulousain

Pour sa cinquième année, le Cassoulet nationaliste toulousain s'est encore tenu dans la bonne humeur, avec les interventions de Roberto Fiorini et d'Yvan Benedetti, qui a accordé une interview à Egalité et Réconciliation 31
 

 

-Le 23 mars 2019 a réuni une cinquantaine de militants et sympathisants à l'occasion de la Ve Cassoulet A4-01 mini.jpgtroisième édition du Cassoulet nationaliste. Comme les année précédentes, l'ambiance fut détendue et très conviviale. Yvan Benedetti, porte-parole du Parti Nationaliste Français, était présent. La dégustation du cassoulet fut précédée d'une présentation didactique de la part de Roberto Fiorini, syndicaliste et secrétaire général de Terre et Peuple, d'un état des lieux sans concessions de la France d'aujourd'hui dans un contexte particulier de crise des Gilets Jaunes, désormais au cœur des débats. Ainsi les principaux indicateurs socio-économiques, démographiques, écologiques, politiques et culturels actuels ont été passés en revue: la dette irremboursable qui précarise de plus en plus de Français écrasés par une fiscalité qui ne profite qu'à l'hyper-classe mondialisée; l'invasion migratoire censée combler un déficit démographique pourtant corrélé à une politique pro-avortement vieille de plus de quarante ans; les dégâts sanitaires des pesticides et de la mal-bouffe; les mensonges de la propagande médiatiques; le fonctionnement anti-démocratique de l'UE, gangrenée par de puissants lobbies; l'étranglement économique des Français à l'origine du mouvement des gilets jaunes, orchestré de longue date par le pouvoir bancaire et les élites à qui il profite en premier lieu. D'ailleurs selon lui, « Après impôt, les 500 Français les plus riches gagnent en moyenne 1 670 fois plus que la moyenne des plus pauvres ».

-Roberto Fiorini a préconisé aux militants et sympathisants nationalistes présents de s'emparer des sujets habituellement "chasse gardée" de l'extrême gauche tels que la préservation de l'environnement, les modes de production et de consommation localistes; de davantage occuper le terrain des débats pour dénoncer sans relâche l'idéologie libérale libertaire et ses relais médiatiques.

-Après le repas, c'est Yvan Benedetti qui a pris la parole, pour raconter comment il avait vécu depuis l'Espagne les premiers instants du mouvement des gilets jaunes, le 17 novembre 2018. En effet, il se trouvait au monumental mausolée de la Vallée de Los Caidos (proche de Madrid en Espagne) où une délégation nationaliste s’était rendue afin de rendre hommage à Franco ainsi qu’à José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange Espagnole. À propos du mouvement des gilets jaunes, Yvan Benedetti a insisté sur le fait que les Nationalistes n’ont pas tenté de s’immiscer dans le mouvement des Gilets Jaunes en s’appropriant les revendications du peuple. « Nous sommes nationalistes, donc nous sommes le peuple! », a-t-il lancé. Et de défendre cette sainte colère qui a saisi les Français, que les défenseurs de l’oligarchie n'ont pas manqué de salir en activant le vieux « réflexe de Pavlov » habituellement provoqué par la simple évocation de militants « d’extrême droite » dans les rangs des manifestants. Pour les « chiens de garde » de l'oligarchie, la présence des nationalistes parmi les Gilets Jaunes donnerait au mouvement une tendance « raciste », « antisémite », voire même « révisionniste » ! Bref, la classique technique de manipulation politico-médiatique ayant toujours servi à balayer toute revendication populaire.

-Quant à l'avenir du mouvement, il reste incertain. Selon Yvan Benedetti, il est nécessaire qu'il se dote d’une « colonne vertébrale doctrinale et militante ». La fusion des différents mouvements nationalistes serait contre-productive. À contrario, travailler de concert en accomplissant chacun nos objectifs spécifiques, « comme les cinq doigts d’une main », reste la meilleure stratégie. « Notre division fait notre force », a souligné Yvan Benedetti.

-En définitive, cette soirée conviviale et riche en enseignements s’est conclue avec l’annonce de nos évènements à venir en France: le traditionnel défilé d’hommage à Jeanne d’Arc à Paris, les 11 et 12 mai prochains; à l’étranger auprès de nos camarades européens à Sofia et Stockholm. Napoléon ne disait-il pas que la victoire appartient à celui qui sait dormir sur le champ de bataille? Alors restons en alerte et tâchons d’être au rendez-vous de l’histoire à venir!

04 avril 2019

Les Gilets Jaunes à Toulouse Acte XI 26 janvier

Manifestation XI, gilet jaunes, Toulouse. Résister par les voix dites démocratiques du système républicain ou mouvement populaire qui arrivera à terme à refaire société ? En tous état de cause pour le peuple et par le peuple cette fois-ci.

 

 

Le samedi 26 janvier, l'équipe de É&R31 se rendait au centre ville de Toulouse pour la XI-ième manifestation du mouvement des gilets jaunes. Trois manifestants se sont exprimés à notre micro, à propos de leurs revendications, de ce qu'ils attendent d'une "vraie démocratie", et de l'avenir du mouvement. Loin du découragement attendu par nos élites, ces gilets jaunes, se réjouissant de ce que ce mouvement aura permis aux Français qui souffrent de sortir leur isolement depuis le 17/11/2018, se sont au contraire montrés déterminés à sortir désormais tous les samedis dans les espaces publics (ronds-points, manifestations) pour parler politique, discréditant d'emblée le "grand débat national" voulu par Emmanuel MACRON, afin d'engager un authentique dialogue national cohésif contre un mode de gouvernance qu'ils estiment dépassé, et contre des élites définitivement jugées comme corrompues et arrogantes. Plus que jamais il est apparu que les Français sont prêts à transcender les traditionnels clivages gauche-droite, en réfléchissant ensemble aux moyens de refonder notre démocratie représentative. Des modes d'accession au pouvoir législatif non électifs et plus fédérateurs à l'indépendance des médias, de la création monétaire à l'utilité du sénat, du bon usage du référendum à la liberté d'expression, de l'égalitarisme entre la population française et ses "représentants" à la sortie de l'UE, ces thèmes abordés ont montré que les Français sont décidés à reprendre en main leur destin politique.

Les gilets jaunes on ainsi exprimé l'espoir d'un changement nécessaire et ce, malgré une intensification des violence policières par rapport aux semaines précédentes: des barricades mobiles avaient été dressées sur des centaines de mètres et le gazage a débuté dès 16:00. Cependant les gilets jaunes ont manifesté dans le calme.

ER31

Gilets Jaunes Acte IV à Toulouse 8 Décembre 2018

IV eme act : le mouvement populaire s'enracine, les gilets jaunes se fédèrent horizontalement, se décident à faire durer le mouvement aussi longtemps qu'il le faudra. 
Malgré le pacifisme de gens, les forces de l'ordre s'opposent à la progression du cortège.
 

 

  Plusieurs personnes expriment dans la rue leurs mécontentements. On peut lire sur des panneaux « Macron j’en ai marre » « les salaires n’augmentent pas » « rien ne change » etc. Les GJ se préparent à affronter l’arrivée de casseurs éventuels mais aussi les CRS qui un peu plus tard dans la journée seront présents au niveau du Pont Neuf. Malgré ce barrage, les GJ se réunissent pour une manifestation pacifique et revendiquer pour un meilleur pouvoir d’achat mais aussi pour l’arrêt de taxes, la relève du SMIC, de l’ISF ou encore du CICE. Solidaire, ce mouvement ne demande qu’à être entendu et protégé face un gouvernement qui doit se soumettre ou se démettre. Ce mouvement refuse d’être exploité encore plus et se demande où va tout l’argent du Français, qui n’est pas réinvesti mais amené dans une bulle spéculative. 
Pour exemple :
·               80 000 milliards dévoués au CICE pour les riches
·               40 000 milliards dévouée aux patrons qui n’investissent pas dans l'economie productive  
·               4000 milliards de données aux spéculateurs
 
ER31

21 décembre 2015

Ordo terribilis ou les ors de la République

"Nous sommes en guerre", déclaration de notre président balancée à la face de notre peuple, non pas comme une décision de son gouvernement mais comme une affirmation, presque un commentaire. Conséquence d’un monde dans lequel l’homme politique est devenu insensiblement non plus l’acteur mais l’observateur de sa prise de décision. Pourtant, on n’affirme pas une déclaration de guerre en commentant un événement, on devrait prendre une telle décision à la mesure de l’engagement qu’elle induit pour notre nation. Mais cette déclaration de guerre n’est qu’une posture journalistique face à une situation délétère dans laquelle s’est enfoncé notre pays depuis des années. Nous sommes déjà en guerre depuis longtemps, nous sommes engagés sur une multitude de théâtres d’opération, en Libye, au Mali, au Tchad, en Afghanistan, au Yémen. Les décisions de nos hommes politiques suivent, ou plutôt poursuivent, de manière servile, les desiderata et les options stratégiques de notre maître les États-Unis d’Amérique. Nos engagements dans ces conflits sont liés aux intérêts capitalistes qui conditionnent toutes les guerres coloniales. Ces campagnes servent le marché de l’armement, du pétrole, de l’uranium, de la drogue, mânes financières pour lesquelles nos armées combattent en mercenaires et dont nos gouvernants sont les entremetteurs.

"Nous sommes en guerre", voilà la phrase qui est censée décrire et expliquer la situation dans laquelle nous nous trouvons et qui engage le décompte de nos morts. Nous sommes en guerre contre le Mal, contre des terroristes qui mettent en danger notre mode de vie, nous les gentils occidentaux hédonistes, éclairés par les lumières de la Raison, qui depuis bien longtemps avons compris que vivre c’est profiter d’un pouvoir d’achat conséquent. Mais ces barbares, venus de l’intérieur, ces forces inhumaines, nous condamnent à vivre dans la terreur, et il faut l’accepter comme un bienfait cette terreur, comme il faut accepter que ceux qui gouvernent soient des pères affectueux, des protecteurs qui nous servent de rempart face à la barbarie, au nom de la sauvegarde sacrée de la société de consommation. La terreur nous lie les uns aux autres, elle est la condition de notre fraternité de consommateurs éclairés, la pierre d’angle de notre nation marchande. La République corrompue et chancelante a enfin trouvé son ennemi, le petit caïd de banlieue converti en islamo-racaille, prêt à trancher la tête des gentils citoyens, celle des agneaux élevés en batterie, ayant grandis sous la domination des ors de la République. Agneaux désarmés répondant aux balles par l’illumination de bougies, la prière compassionnelle et les concerts de paix.

L’usage de la terreur sous-entend l’union sacrée, héritage idéologique de la boucherie de Quatorze ordonnée et perpétrée par la République, pour les mêmes intérêts, ceux des vendeurs de canons, avec un autre barbare inhumain dans le rôle du double infernal, le prussien cracheur de chique à tête de mort. La logique de la terreur ne vient de l’intérieur que parce-qu’elle est désignée comme telle ; le peuple français n’est pas bombardé de bombes mais d’images et de discours montés en boucle. Le logos de la terreur s’articule à la terreur elle-même, il en est la source, la transcendance par laquelle la terreur idéologique est érigée en système de domination total, en fondement catégorique du vivre ensemble. Pourtant, la France a connu des actes terroristes à répétition, dans les années 90, les années 80, des avions ont explosé, des stations de métro, faisant tout autant de victimes au hasard, et rien de tout cela n’a déclenché l’état d’urgence, aucune de ces exactions n’a fait entrer notre pays dans la terreur médiatique, dans l’ordo terribilis politique dans lequel nous venons de nous avancer d’un seul coup. Nous voilà donc partis vers on ne sait quoi, menés par on ne sait qui, contre on ne sait pas trop quoi. Nous les agneaux à qui l’on interdit de se rassembler, sauf pour prier et pleurer nos morts ou fêter nos héros en comptant nos drapeaux sur les fenêtres. Nous, le troupeau bêlant à qui l’on vole ses droits constitutionnels, à qui l’on demande d’accepter la terreur comme un destin inéluctable, nous voilà donc partis, mais où exactement ?

Là où finissent tous les agneaux : à l’abattoir. Mais que l’on se rassure, bientôt les pis gonflés de la République se rempliront de nouveau, et d’autres citoyens agneaux viendront téter le lait de la terreur, au son du canon.

Auteur anonyme

L’année prochaine à Tripoli

Les « migrants », c’est joli, ça fait penser aux oiseaux...

Immigrés, c’est comme ça qu’on appelait les migrants jusqu’à l’année dernière. Il n’est pas évident de prendre la juste mesure de l’évolution de ce phénomène tant les sources diffèrent. La réaction quasi unanime des représentants des états européens porte sur la gestion et l’accueil de ces personnes. Mme Rosenberg Sinclair fait la leçon aux Français, indiquant le bon élève suédois au travers de son organe le Huffington Post France. Pour la LICRA, ce sont des réfugiés climatiques... Trop ou trop peu, pour ceci ou bien pour cela, le résultat est que l’arrivée d’immigrés sur notre sol est exponentielle.

Le 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid en Tunisie a débuté ce que les merdias ont qualifié de « Printemps arabe ». A l’origine, une revendication légitime pour davantage de liberté de la part de peuples maghrébins étouffés par le copinage, les passe-droits, la corruption. Ce que nos merdias ont pris pour des « mouvements révolutionnaires nationaux » se sont en fait très vite transformés en « mouvements internationaux », c’est-à-dire l’immigration. Le 15 février 2011 c’est au tour de la Libye. Kadhafi, qui avait les moyens d’enrayer ce processus, a été mis hors-jeu par une coalition internationale menée par Sarközy de Nagy-Bocsa, inspiré par Bernard-Henri Botul ‒ La Guerre sans l’aimer et « le Printemps arabe est bon pour Israël ». Le 20 octobre 2011 Kadhafi meurt, le siphon du trafic immigrationniste est ouvert, les mafieux et les fanatiques se frottent les mains. C’est ensuite au tour de la Syrie ‒ attaquée par un ennemi qui nous est pourtant officiellement commun ‒ d’apporter son lot de candidats à la croisière infernale.

Un tel fiasco ‒ ou sabotage ‒ trouverait dans le jargon que je connais bien, celui du bâtiment, le qualificatif ‒ de plus en plus désuet, il faut le dire ‒ de « travail d’arabe ». En l’occurrence il me semble que ce « travail » trouve plus justement sa source du côté de Jérusalem que de celui de Riyad. Un travail de talmudiste donc. Ce grand bouleversement/remplacement immigrasioniste provient essentiellement de la faille libyenne. Un retour dans ce pays est donc nécessaire. Retour des forces armées, coalition ou pas, la France a (encore) les moyens de restaurer un état de droit sur ce territoire. Seulement ce grand mouvement de population est désormais en marche et tel un paquebot en plein élan, son arrêt ne peut se faire instantanément. Une solution d’accueil est inévitable.

Une lueur d’espoir vient poindre à l’horizon. Une terre de messies et de tolérance absolue tant vantée par les plus grands esprits de nos élites. Elle a été louée pendant les heures les plus sombres de notre histoire. Cet Éden, c’est la terre promise, Israël, Jérusalem. Comme l’a dit Attali, « c’est un joli lieu pour un gouvernement mondial ». En attendant le gouvernement, prenez donc le monde qui arrive.

L’année prochaine à Jérusalem.

16 novembre 2011

Wanted

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Nous remercions au passage notre indic, Dave les bons tuyaux. Signalons également que la récompense pourrait être mousseuse et belge.

   Romain pour E&R Midi-Pyrénées

11 novembre 2011

Pas de conférence d'Alain soral pour le moment...

  Chers camarades,

Nous avons régulièrement parlé soit sur ce blog, soit directement avec des militants ou des sympathisants de la tenue d'une conférence d'Alain Soral en fin 2011. Sachez que celle-ci n'aura pas lieu et nous n'y sommes pour rien. En effet nous avions un projet de conférence presque finalisé, mais la direction nationale d'E&R pense que le contexte très délicat de Toulouse (pressions politiques diverses) ne permet pas de garantir une conférence sans incidents.

Nous en sommes évidemment les premiers déçus. Toutefois nous ne désespérons pas qu'une conférence ait lieu prochainement à Toulouse, car des opportunités devraient arriver.

Romain pour E&R Midi-Pyrénées

30 mars 2010

Affichage intéressant de l'OSRE

J'ai déjà eu l'occasion de dénoncer sur ce blog, la pollution visuelle et idéologique engendrée par les affiches des gauchistes. Dans ce triste paysage, nous tentons de redonner un peu de couleur à notre ville avec nos affiches et nos auto-collants. Mais nous ne sommes plus seul! Nous avons pu voir une campagne d'affichage particulièrement pertinente sur l'obsolescence du clivage droite-gauche et la trahison de la Gauche. Ce collage est à l'initiative du groupe socialiste révolutionnaire Européen Rébellion. Nous profitons de ce billet pour leur adresser nos salutions militantes.

DSCN1018.JPG


Romain.

 

20 mars 2010

Autocollants de la section

autocollant2.jpeg

Bonjour à tous,

Nous mettons en vente des autocollants au couleur de la section. La taille est de 9cm*9cm.
Les tarifs (frais de port compris) sont de:
- 20 autocollants : 5€
- 60 autocollants: 10€

Pour toute commande adressez un mail à midi@egaliteetreconciliation.fr.


Salutations militantes.


Romain.

 


13 février 2010

Une conférence de Pierre Hillard annulée à Toulouse

Un article publié par le site mecanopolis a révélé au grand jour, une scandaleuse affaire de censure.

Julien Teil, un activiste ayant publié plusieurs articles fort intéressants sur les ONG et la gouvernance mondiale [1], souhaitait organiser une conférence dont l'invité principal était Pierre Hillard. La conférence devait se tenir à la Chapelle, un lieu d'expérimentation politique autogéré. La conférence était prévue depuis plusieurs mois, mais  a été annulé au dernier moment, car Pierre Hillard serait d'extrême-droite. C'est du moins ce qu'aurait prétendu certaines personnes proches de l'Atelier Idéal, l'association gérant la chapelle.

C'est, à ma connaissance, la première fois qu'une conférence de ce genre est annulée. Parce qu'en toute franchise, je ne vois pas comment on pouvait croire que cette conférence était une manipulation de groupe d'extrême-droite [2]. La censure n'a plus aucune limite et s'attaque désormais à des conférences anti-mondialistes, qu'on pourrait croire marquées à gauche. Le facisme semble bien être de retour mais ce n'est pas celui que l'on croit [3].

L'interview de Julien Teil suite à l'annulation:

 

 

L'article sur mecanopolis

Lien vers un forum anti-fasciste se vantant d'avoir fait échoué la conférence.

 

Romain.

[1] Lien vers son dernier article: http://www.voltairenet.org/article163755.html#article163755

[2] D'ailleurs qui aurait pu croire que l'extrême-droite tenterait d'organiser une conférence au coeur même d'un lieu gauchiste comme la chapelle. Il est clair que vu le passé Toulousain anti-fasciste (Scalp et autres), l'extrême-droite est consciente des risques encourus.

[3] Du moins, ce n'est pas celui que pense être les groupes anti-fascistes.