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21 décembre 2015

L’année prochaine à Tripoli

Les « migrants », c’est joli, ça fait penser aux oiseaux...

Immigrés, c’est comme ça qu’on appelait les migrants jusqu’à l’année dernière. Il n’est pas évident de prendre la juste mesure de l’évolution de ce phénomène tant les sources diffèrent. La réaction quasi unanime des représentants des états européens porte sur la gestion et l’accueil de ces personnes. Mme Rosenberg Sinclair fait la leçon aux Français, indiquant le bon élève suédois au travers de son organe le Huffington Post France. Pour la LICRA, ce sont des réfugiés climatiques... Trop ou trop peu, pour ceci ou bien pour cela, le résultat est que l’arrivée d’immigrés sur notre sol est exponentielle.

Le 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid en Tunisie a débuté ce que les merdias ont qualifié de « Printemps arabe ». A l’origine, une revendication légitime pour davantage de liberté de la part de peuples maghrébins étouffés par le copinage, les passe-droits, la corruption. Ce que nos merdias ont pris pour des « mouvements révolutionnaires nationaux » se sont en fait très vite transformés en « mouvements internationaux », c’est-à-dire l’immigration. Le 15 février 2011 c’est au tour de la Libye. Kadhafi, qui avait les moyens d’enrayer ce processus, a été mis hors-jeu par une coalition internationale menée par Sarközy de Nagy-Bocsa, inspiré par Bernard-Henri Botul ‒ La Guerre sans l’aimer et « le Printemps arabe est bon pour Israël ». Le 20 octobre 2011 Kadhafi meurt, le siphon du trafic immigrationniste est ouvert, les mafieux et les fanatiques se frottent les mains. C’est ensuite au tour de la Syrie ‒ attaquée par un ennemi qui nous est pourtant officiellement commun ‒ d’apporter son lot de candidats à la croisière infernale.

Un tel fiasco ‒ ou sabotage ‒ trouverait dans le jargon que je connais bien, celui du bâtiment, le qualificatif ‒ de plus en plus désuet, il faut le dire ‒ de « travail d’arabe ». En l’occurrence il me semble que ce « travail » trouve plus justement sa source du côté de Jérusalem que de celui de Riyad. Un travail de talmudiste donc. Ce grand bouleversement/remplacement immigrasioniste provient essentiellement de la faille libyenne. Un retour dans ce pays est donc nécessaire. Retour des forces armées, coalition ou pas, la France a (encore) les moyens de restaurer un état de droit sur ce territoire. Seulement ce grand mouvement de population est désormais en marche et tel un paquebot en plein élan, son arrêt ne peut se faire instantanément. Une solution d’accueil est inévitable.

Une lueur d’espoir vient poindre à l’horizon. Une terre de messies et de tolérance absolue tant vantée par les plus grands esprits de nos élites. Elle a été louée pendant les heures les plus sombres de notre histoire. Cet Éden, c’est la terre promise, Israël, Jérusalem. Comme l’a dit Attali, « c’est un joli lieu pour un gouvernement mondial ». En attendant le gouvernement, prenez donc le monde qui arrive.

L’année prochaine à Jérusalem.

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