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23 février 2014

fascistes VS antifascistes ou l'inverse ?

FNvsAntifasSt-Pierre.jpg

Jeudi 30 janvier en fin d'après-midi sur la place Saint-Pierre, des militants FN se sont fait agresser par une vingtaine d'antifascistes. Serge Laroze, tête de liste du FN à Toulouse pour les élections municipales, tenait un meeting au bar Basque en compagnie de ses colistiers et d'adhérents. Sans l’intervention des CRS, les conséquences auraient pu être graves car les agresseurs étaient venus devant le bar pour empêcher la tenue de cet assemblée, bloquant ainsi toute la circulation du quartier.

 

Ce jour-là la plupart des antifascistes avaient le visage masqué, capuche ou demi-cagoule. Deux de leurs militantes, quasiment hystériques, ont scandées des paroles de haine à l’attention des militants nationalistes. Entre deux averses, il plut un florilège d’insultes gratuites.  On put distinguer derrière leur verbiage simiesque quelques expressions bien choisies : "Mais voyagez putain!", "y a trop de gens de couleurs en prison", "pleins d'autres qui ramassent votre merde, c'est ça votre démocratie?". Sorte de jour de colère à l’envers. De l’autre côté, le FN attendit patiemment que le crachin passe.


Quelques étudiants ainsi qu’un jeune membre du NPA (incognito, mais reconnu par des témoins) regardaient la scène de loin, sans réaction. Symbole d’un parti à la dérive, perdu entre radicalité antifasciste et populisme démago mélenchonnien…1

 

La manipulation d’un fait divers tragique, à savoir la mort accidentelle de Clément Méric le 5 juin 2013, aura suffi à redonner de la vigueur à ce combat d’arrière-garde. A force de voir le fascisme partout, comme leur ami Manuel Valls, nos amis en perdent le vrai sens du combat antifasciste de ce début de XXIe siècle : la lutte contre le pouvoir oligarchique et financier. Les vrais antifascistes aujourd’hui sont les patriotes qui luttent pour préserver leur emploi, leur qualité de vie, leur identité. La liberté d’expression c’est savoir laisser la parole à ses adversaires et non pas la leur interdire, ce qui est un acte fasciste. Encore un point commun avec Manu leur protecteur sioniste, ça fait beaucoup.

 

PS : cet événement sera passé complètement inaperçu dans les médias locaux, mis à part le blog Capitole142

 

EL TOPO

1 Le NPA est en déclin : il est passé de 10 000 membres à sa création en 2009 à 2500 en 2013. Ce qui bien sur ne peut que nous réjouir !

 

2 Blog d’étudiants de l’Ecole de journalisme de Toulouse sur les municipales.

Commentaires

La gauche et sa tradition bientôt séculaire d'endoctriner une jeunesse idiote, inculte et par trop romantique pour aller faire le sale boulot. Hitler avait ses SA, Mao ses étudiants et nous on a les antifas. C'est exactement les mêmes: une bande d'abrutis fanatiques bien encadrés et absolument certains d'oeuvrer pour le bien, ce qui semblerait justifier des méthodes d'action inventées par... les fascistes!!! Le bon côté c'est que l'antifa moyen c'est le petit étudiant raté en fac L qui a passé sa jeunesses a joué à la play en sirotant le coca que maman lui achetait religieusement et qui passe son temps d'étude à fumer du shit (acheté avec l'argent de maman) à la cité U quand il ne va pas jouer au petit fasciste idiot pour se racheter une conscience à grands coups de violences politiques. Des types mous, lâches (au moins les SA oeuvraient à visage découvert et ça a du leur jouer des tours après 45, visiblement c'est la seule leçon que nos petits Kevin-s'en-va-t-en-guerre ont retenu de cette triste histoire) qui n'ont une force de frappe qu'à plusieurs avec des armes à la main. Bref des petits êtres fragiles intellectuellement, psychologiquement et physiquement qui seraient bien inspirés d'aller baiser leurs mamans (ou leurs papas pour les plus progressistes) pour résoudre réellement leurs petits conflits intérieurs. Il faut que les antifas réalisent que leur lutte fasciste n'est pas une psychothérapie, c'est un symptôme et la politique n'est pas le playstation network qui est plus propice à épanouir la vacuité de ces moutons. On en vient à se dire qu'il suffirait que la droite fasse éditer un FPS-simulateur de lutte anti fasciste pour que ses ados attardés quittent le terrain politique. Terrain où d'ailleurs ils n'ont rien à faire si ils ne disposent pas de sens critique, d'une culture et d'un certain recul seules armes réelles contre le fascisme.

Écrit par : ChrisP | 24 février 2014

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